De retour dans l’institution de redressement d’une église, Rô se livre à tous les blasphèmes, mettant la religion à l’épreuve. Le murmure des dieux lui parvient à travers les écouteurs transparents d’un poste radio en germanium. Pourquoi sommes-nous ainsi enfermés dans la vie ? Nous savons pourtant bien qu’à cette question il n’est point de réponse. Simplement, une autre pensée se dégage indistinctement, en suspens. « La vie est pleine de bonheur », et dans ce bonheur il y a blessures, douleurs, souffrances désirées comme le fait d’en infliger à autrui, et cet incoercible sentiment de vacuité… Et pourtant, inexplicablement, l’on ressent un espoir. Alors que nul ne sait ni pourquoi, ni où cela peut nous mener…